L'art pourrait-il devenir un rempart contre la question morale et le féminisme ? L'art pourrait-il faire une échappée contre monde réel ?

mercredi 17 août 2016

Nolwenn Leroy - Je ne serai jamais ta parisienne - Brest Mars 2011


Là où les eaux se mêlent 

Là où se finit la terre 
Là où est si grand le ciel 
Là où se bat la mer 
Là où je deviens celle 
Qui pour toi reste un mystère 
Même si tu me trouves si belle 
Sous les feux de ta ville lumière 
Qui voit Ouessant, voit son sang 
Qui voit Molène, oublie sa peine 
Qui voit Sein, n'a plus peur du lendemain 
Qui voit le Fromveur, entrevoit le bonheur 
J'aimerais tant que tu me comprennes 
Je ne serai jamais ta parisienne 
j'aimerais tant que tu comprennes 
Qu'ici ma place n'est pas la mienne 

                                                                               Mais sur les rive de la Seine 




Je rêve toujours de pleine mer 
Ce n'est pas pour te faire de la peine 
Ce n'est pas pour jeter la pierre 
Ce n'est pas pour faire de scènes 
Ce n'est pas pour croiser le fer 
Mais sur les rives de la Seine 
Je suis au bout de la terre 
Qui voit Ouessant, voit son sang 
Qui voit Molène, oublie sa peine 
Qui voit Sein, n'a plus peur du lendemain 
Qui voit le Fromveur, entrevoit le bonheur 
J'aimerais tant que tu me comprennes 
Je ne serai jamais ta parisienne 
j'aimerais tant que tu comprennes 
Qu'ici ma place n'est pas la mienne 
J'aimerais tant que tu me comprennes 
Je ne serai jamais ta parisienne 
j'aimerais tant que tu comprennes 
Qu'ici ma place n'est pas la mienne